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Montréal, le 14 avril 2020 – Dans ce contexte sans précédent de la COVID-19, les collèges membres de l’ACPQ sont plus que jamais mobilisés afin de compléter la session d’hiver, et ce au bénéfice des étudiants.  À cet effet, de nombreuses mesures sont mises en œuvre afin de soutenir ces derniers et plus particulièrement ceux ayant des besoins particuliers.  Ces services sont offerts en modes virtuels ou alternatifs afin notamment d’offrir du soutien psychologique et de briser l’isolement des étudiants.

« Les collèges privés membres de l’ACPQ sont en action et offrent depuis le mois de mars des programmes en ligne à la population étudiante que ce soit par des classes virtuelles ou des modes alternatifs. Nous sommes heureux de contribuer aux différents comités ministériels qui ont été établis afin de trouver des solutions efficaces pour l’ensemble du réseau collégial » mentionne le directeur général de l’ACPQ, monsieur Patrick Bérubé.

Depuis le début de la crise, les différents ministères tels que le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, le ministère de la Santé et des Services sociaux ainsi que le ministère de la Sécurité publique effectuent un travail colossal afin de renseigner les divers intervenants du monde de l’éducation.

L’ACPQ tient à remercier les différents intervenants des ministères pour leur collaboration et leur soutien dans le traitement des dossiers concernant l’enseignement supérieur en cette période de crise sanitaire. Ce travail collaboratif permet aux collèges privés subventionnés de s’assurer de compléter le semestre d’hiver dans une perspective de réussite pour toutes et tous.

 

Le réseau collégial privé subventionné, un réseau diversifié, ouvert et accessible à tous. L’ACPQ regroupe 21 collèges privés subventionnés du Québec, établis dans les régions de Montréal, Québec, Trois-Rivières, Gatineau, Sherbrooke et Drummondville, qui, dans une tradition d’excellence, mettent tout en œuvre pour favoriser la réussite de leurs étudiants. Les taux d’obtention du diplôme dans la durée prescrite – deux ans au préuniversitaire et trois ans au secteur technique – en sont un exemple éloquent.

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Source : Patrick Bérubé, Directeur général

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